Une opportunité pour l’avenir ?

Et oui, tout est possible sur la toile. A la lecture de cette news sur l’expansion.com :
Belkin, un fabricant de périphériques informatiques, proposait de payer les internautes 65 cents par critique positive sur ses produits l

Je me suis dit :

  • encore de l’eau aux moulins des detracteurs du web. Plutôt pessimiste comme point de vue
  • la vérité se fait connaitre.

  • la confiance peut se perdre rapidement.

Comment dejouer les pieges ? Comment gagner/perdre la confiance de ses clients…et prospects ?

Avec un peu de recul, j’imagine que ce genre de « business » existe depuis longtemps. Internet n’a « que » permis de decupler les possibilites offertes, de s’affranchir de toute notion géographique. Et aussi de libérer la créativité humaine.

Cette petite histoire est à mes yeux pleine de promesses pour l’avenir. Il y aura toujours des profiteurs. Mais les hommes tous ensemble peuvent rapidement mettre à l’index les mauvais joueurs. Via les forums, blog, reseaux sociaux. Seul, nous ne pouvons pas grand chose. A plusieurs, c’est beaucoup plus facile.

Bruno, un brin philosophe ce soir

One thought on “Une opportunité pour l’avenir ?

  1. foutrak

    Effectivement, ça laisse rêveur…

    En fait ça me rappelle, dans une moindre mesure bien sûr, les tous premiers forfaits internet qui, il y a une dizaine d’année, vous permettait de surfer « gratuitement » contre une visibilité accrue de la publicité (Oreka par exemple). D’autres vous rétribuaient même quelques dizaines de centimes de franc par clic sur des bannières publicitaires (Ouah, qui a d’ailleurs adapté depuis son modèle économique au mail rémunéré).

    En soi, cela peut paraître plutôt innofensif, sauf que l’audience des sites, les clics, tout cela participe à un système de valeur (largement utilisé par Google) qui va déterminer le prix des publicités et à fortiori des campagnes marketing. Si l’on pousse le raisonnement un peu plus loin, c’est une nouvelle dérive du système, qui va tendre à biaiser l’équilibre entre l’offre et la demande.

    Les modèles « user centric » – censés donner le pouvoir à l’internaute (voire au consonaute, cher Bruno) – sont de fait soumis à toute une batterie de courants alternatifs, qui vont au final pervertir (d’une manière plus ou moins importante) le rapport de force entre annonceurs et cliqueurs/visiteurs/consommateurs.

    Le tout est de savoir s’il s’agit d’une simple amplification des tendances intrinsèques du marché, ou bien au contraire d’une réduction du poids de l’utilisateur final dans l’équation générale.
    Dans tous les cas, le monde n’est jamais aussi beau/sain/simple que l’on aurait tendance à se le représenter.

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